JusquAu Bout De LIndignité - Dévergondages 11
Jusquau bout de lindignité - Dévergondages 11
Alors que je réside hors de France, Michel B., ma contacté lors dun déplacement dans mon Pays. Lui-même, demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées à Paris. Pour cela, il ma demandé dimaginer des récits pouvant lamener à se pervertir.
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« L'immoralité de l'homme triomphe de l'amoralité de la femme. » Karl Kraus
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Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
Puis, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans lanus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ».
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Odile a rejoint le domicile conjugal en fin daprès-midi, en évitant de repasser à son bureau. Son mari ayant une réunion qui sest terminée très tard, aussi elle sest couchée de bonne heure, essayant de faire le point sur ce quelle vient de vivre aujourdhui. Son attirance pour Myriam la troublée, car elle navait jamais eu, même jeune fille en pension, de rapports intimes, ou même de tentation avec dautres pensionnaires. Elle savait que cela existait, dautres filles étaient ensemble, mais sa libido ne lavait jamais travaillée. Elle ne peut se mentir à elle-même, elle a pris du plaisir à se caresser et à se lécher avec cette pulpeuse blonde et elle a même eu envie que son athlétique mari se joigne à elles. Quant au jeune voyeur à qui elle a dû faire une fellation, contrainte par Edmond, elle na même pas honte de lavoir fait, ayant pris un plaisir certain à goûter et à savourer la bite de ce jeune garçon.
Se pourrait-il quelle devienne une « salope », même si cest dans le bon sens du terme, comme le lui a dit son suborneur, qui lentraine à présent vers une débauche sexuelle dans laquelle elle se complait maintenant avec un plaisir certain ? Elle doit reconnaître, à certains moments, que cest avec volupté, quelle se soumet aux exigences de plus en plus obscènes du notaire. Oh ! bien sûr, sur le coup, elle est remplie de honte et son humiliation est à son comble, son dégoût de soi se mélangeant au plaisir de la mortification quelle sinflige en véritable soumise à celui qui la domine de tout son pouvoir sur elle. Elle réalise que ce nest pas uniquement le chantage dont elle lobjet depuis le début, car, elle nignore pas que lascendant quEdmond a pris sur toutes ses valeurs, lui occasionne un plaisir diffus dassujettissement à un maître, outre la jouissance quelle en retire, qui la comble dans sa trop tranquille existence de la bourgeoisie bordelaise.
Comment va-t-elle pouvoir cacher tout cela à sa famille ? Michel, son mari, sest bien aperçu quelle « mouille » à présent, alors quelle avait toujours été sèche. Il ne lui a fait aucun reproche, ni demandé dexplication. Il profite plutôt de la situation, ne serait-ce que lorsquil la prise à la hussarde dernièrement. Elle voudrait bien à présent quelle se sent « décoincée », pouvoir faire lamour avec son mari dune manière moins conventionnelle, mais comment le prendrait-il ? Muriel a bien remarqué que sa mère prend plus de soin que dhabitude de son corps et quelle se caresse souvent les seins dans la salle de bains où elle fait souvent irruption, alors que pourtant, elle a sa propre salle de douche, mais sans baignoire.
Elle est heureuse avec sa famille, et elle aime son mari, sa fille et même le petit ami de celle-ci, quelle napprécie pas beaucoup pourtant. Gérard Ndiaye est un garçon brillant, de souche sénégalaise par son père, officier de lArmée française et française par sa mère Antillaise. Elle nest pas vraiment raciste, mais ce grand corps noir qui, si ce nest pas déjà fait, forcera lintimité de sa fille, cela la choque un peu. Sa fille lui a confié quils allaient sans doute se séparer, car, a t-elle dit à sa mère, elle veut rester vierge jusquà son mariage et Gérard ne lentend pas ainsi. La mère se serait sans doute contentée de cette prise de position de sa fille, mais, à présent quelle connaît le bonheur du plaisir charnel, elle se demande si sa fille de vingt deux ans, ne va pas rester une oie blanche comme elle la été durant ses vingt-cinq ans de mariage ? Justement sa fille est partie pour une compétition de natation à lautre bout de la France et elle ne doit rentrer que le lendemain soir. Daprès ce quelle sait, son petit copain ne la pas accompagnée.
Odile, épuisée par toutes ses réflexions et surtout par la journée ardente et épuisante quelle vient de vivre aujourdhui, sendort enfin.
Le lendemain matin est un jour férié.
Michel a le visage congestionné lorsquil quitte la table où lordinateur est installé, il sapproche de son épouse et sans aucune explication il écarte les pans de sa robe de chambre et la chemise de nuit, plonge sa main dans lentrejambe et glisse ses doigts dans la fente quil trouve encore une fois humide, arrachant un gémissement prolongé à sa femme, qui plie les genoux, pour tenter déchapper aux doigts, crispés sur les chairs tendres de son intimité. Mais Michel est surexcité et empoignant sa femme dans ses bras, il vient la balancer sur un canapé proche, puis, il lui retire de force sa robe de chambre et sa chemise de nuit et, la disposant à quatre pattes, il lui intime lordre de ne pas bouger. Prestement, il se débarrasse de ses vêtements de jogging et, écartant les fesses dOdile de ses deux mains, il enfouit la tête dans son entrejambe, et entreprend de lécher à grands coups de langue, la vulve qui laisse bientôt sécouler une onctueuse liqueur quil lape sans discontinuer.
Odile est tétanisée.
Au moins, elle aura offert à son Michel, ce quil attendait depuis si longtemps. Lorsquil commence à se mettre en mouvement, sa pine se retirant et plongeant à nouveau dans le cul à peine défloré, elle hurle à nouveau, la douleur lui paraissant effroyable. Pourtant, petit à petit, des sensations voluptueuses se mélangent à une douleur plus diffuse. Elle gémit à présent et même, projette ses fesses au-devant du membre qui lencule. Ses cris sont plus dacceptation que de rejet et Michel la pilonne avec une résistance surprenante, jusquà ce que nen pouvant plus malgré tout, il éjecte sa semence au fond du trou, mordant la nuque de son épouse comme le ferait un chien à sa chienne. Car il songe que cest bien une petite chienne cochonne quil vient denculer pour la première fois de sa vie.
Michel est étendu sur le dos de sa femme. Celle-ci arrive à se retourner et, enlaçant son cher et tendre, elle lembrasse avec amour, mélangeant sa langue à la sienne. Pourtant le couple néchange pas un seul mot, ne pouvant rompre les vingt-cinq années dabsence de communication sur leur sexualité. Lorsque les deux époux se sont embrassés et cajolés durant un long moment, Odile se penche sur lentrejambe de son mari et, voulant de la sorte lui faire comprendre quelle ne lui en veut pas de lavoir sodomisé ainsi, elle prend son pénis dans ses doigts fins et lèche avec délicatesse la chair qui lui a procuré douleur et plaisir à la fois. Cette hampe, encore enduite du sperme marital et de ses sécrétions intimes. Puis elle le pompe avec délicatesse et adresse, faisant tourner sa langue autour de la queue quelle avale le plus loin possible au fond de sa gorge. Elle sent le membre gonfler et tressauter dans sa bouche, elle le retire et le masturbe énergiquement et longuement à quelques centimètres de ses lèvres. Lorsque le sperme jaillit du méat congestionné, il asperge le visage dOdile, une bonne partie arrose ses lèvres grandes ouvertes, sa langue recueillant le foutre quelle déglutit sans hésiter. Son mari la regarde amoureusement et lembrasse sans hésiter.
La journée se passe à se câliner tous les deux, mais aucun ne fait allusion à ce qui vient de se passer. Pourtant les échanges et les actes quils ont accomplis sont très forts, mais ils sont incapables den parler. Le soir, Michel lui fait lamour avec douceur et sans aucune brutalité. Odile se laisse aller à gémir et à participer à lacte coïtal avec une ardeur quelle navait jamais osé exprimer. Au petit matin, alors quelle dort en chien de fusil contre le ventre de son mari, pour une fois, nus tous les deux, il lui prend délicatement le derrière, faisant glisser son sexe dans lanus à peine défloré. Odile souffre un peu, mais elle accompagne la queue de son mari, projetant ses fesses au-devant du pieu qui lui perfore lintestin. Michel a posé une de ses mains sur le ventre de sa femme et il caresse le clitoris, introduisant des doigts dans la fente vulvaire dont sécoule la cyprine encore une fois abondante. Bien que sa fille soit rentrée dans la nuit et se trouve dans une chambre voisine, Odile ne peut sempêcher de pousser des gémissements de plus en plus aigus, car elle jouit vraiment du coït rectal qui cette fois la laisse anéantie par un orgasme incroyable.
Lorsque son mari part pour rejoindre son bureau, Odile se prépare pour aller au bureau. Dans la salle de bains, elle retire le rosebud de la boite de tampons, le contemple, en se demandant comment sa relation avec Edmond va évoluer. Elle réalise que sans ce quelle a vécu avec lui, elle naurait jamais pu accepter que son mari la prenne ainsi et que grâce à cet anus-pickett, elle naurait jamais pu être sodomisée, car sa rosette est bien trop serrée. Il faut avouer que cet engin a convenablement préparé son anus à la perforation de son rectum par le membre de son mari. Elle réalise alors, que celui dEdmond est beaucoup plus long, mais ce qui laffole, cest quil a une circonférence au moins du double du pénis de Michel. Il va la faire mourir cest certain lorsquil va la pénétrer. À moins quil lui introduise le modèle T3 quelle ne se sent pas le courage dintroduire elle-même entre ses fesses. Ce serait la meilleure solution pour habi son cul à être sodomisé par la bite de son coquin de notaire. Elle va être obligée de lui avouer que son mari lui a dépucelé son illet si délicat.
Lorsquelle introduit le cylindre en acier dans le goulet récemment défloré, elle éprouve une légère douleur, bien inférieure à ce quelle craignait. Elle songe à lengin qui lui a paru monstrueux dans lécrin qui est dans lappartement de la place Mitchell et elle frissonne en pensant au moment où Edmond le lui introduira dans le trou qui sélargi à chaque fois un peu plus
À suivre
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